ASSASSINAT DE CHARLIE KIRK : L’INFLUENCEUR DÉNONÇAIT L’AFFAIRE EPSTEIN AVANT SA MORT ! | GPTV
Description
Le 12 septembre 2025 à 12h30, Mike Borowski analysait l’assassinat politique de Charlie Kirk, ses liens avec l’affaire Epstein, l’influence israélienne et les zones d’ombre de l’État profond, en direct sur Géopolitique Profonde.
Assassinat politique et zones d’ombre
La mort de Charlie Kirk, survenue le 10 septembre à l’Utah Valley University, s’inscrit dans un climat américain de polarisation extrême. Figure majeure du conservatisme pro-Trump, il mobilisait la jeunesse autour d’un agenda identitaire et nationaliste. Son assassinat n’apparaît pas comme un acte isolé : le verrouillage de l’enquête, le silence institutionnel et le flou sur le tireur renforcent l’idée d’une exécution ciblée. En tant que relais médiatique et organisateur de terrain, Kirk incarnait une menace stratégique. Son élimination semble viser une mouvance entière. L’omerta médiatique et politique alimente la thèse d’un acte coordonné dans la lignée des liquidations politiques américaines.
L’ombre d’Epstein et la question israélienne
Kirk dénonçait les ramifications de l’affaire Epstein, mettant en lumière des réseaux mêlant élites, renseignement et corruption sexuelle. Son influence auprès des jeunes rendait ces révélations d’autant plus dangereuses. Il risquait de faire émerger un débat public sur un sujet maintenu sous silence. Parallèlement, son positionnement vis-à-vis d’Israël évoluait : bien que pro-israélien, il commençait à interroger le rôle du Mossad et l’influence israélienne dans les cercles de pouvoir américains. Ce changement de ton inquiétait : ses critiques, encore rares dans son camp, menaçaient de briser un consensus idéologique. Sa mort intervient alors que ces prises de position devenaient audibles, suggérant une élimination préventive.
L’État profond démocrate et les pistes interdites
La version officielle évoque un tireur isolé, possiblement issu de l’opposition idéologique. Mais la précision de l’attaque, son déroulement maîtrisé et le choix du lieu laissent entrevoir une opération plus structurée. Le camp démocrate avait tout intérêt à neutraliser une figure qui exposait la collusion entre justice, institutions et élites économiques. En attaquant le cœur du pouvoir profond, Kirk devenait une cible. L’assassinat coïncide avec un regain d’attention sur Epstein, Israël et les réseaux transnationaux. Cette synchronicité questionne : Kirk franchissait une ligne rouge, rendant crédible l’idée d’un acte organisé. Le mythe du tireur solitaire masque peut-être une décision collective. Pour certains, il aurait dit ce qu’il ne fallait pas dire. Sa disparition rappelle que certains sujets, même dans une démocratie, peuvent coûter la vie.
Ne vous laissez plus manipuler par des élites déconnectées du réel. Découvrez la revue mensuelle Géopolitique Profonde.
https://geopolitique-profonde.com/